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LE VOL SANS BATTEMENT

Page 31 : Chez l’oiseau « La force proportionnelle est en raison de la petitesse. »

Page 33 : « La vitesse est en raison inverse de la grandeur de la surface. »

Page 36 : « L’aptitude au changement de direction est en relation avec l’ampleur et la puissance de la queue. »

Page 37 : « Les oiseaux sans queue ont tous l’avant-bras très long. »

Page 63 : « Dans la navigation aérienne la question de base est la vitesse. »

Page 69 : « La quantité de surface proportionnelle nécessaire à un oiseau pour un genre de vol donné diminue avec l’augmentation du poids de l’oiseau. »

Page 210 : « Quand un corps se meut, son centre de gravité (ou son centre de pression) se déplace et se transporte en arrière du sens de mouvement. »

Page 236 : « Dans le vol des oiseaux voiliers, l’exhaussement est produit par l’emploi adroit de la force du vent, et la direction par l’adresse ; de sorte qu’avec un vent moyen, on peut, avec un aéroplane qui n’est pourvu d’aucun appareil pour s’exhausser, s’élever dans les airs et se diriger même contre le vent. »

Page 237 : « L’ascension est produite par l’utilisation adroite de la puissance du vent, et nulle force autre n’est nécessaire pour s’élever. »

Dans le présent livre nous trouvons celle-ci au chapitre «  Aéropane d’essa i » : « L’oiseau qui a l’aile étroite n’a presque pas de queue, et celui qui a l’aile large a la queue très développée. »

Je n’ai malheureusement pu étudier que peu d’oiseaux, l’observation des voiliers africains et américains pourra probablement suggérer d’autres exposés de principes. Il faut donc étudier le volateur vivant en liberté, en pleine action de vie, suivre avec ardeur le