Page:Le sphinx au foyer Bourotte 1883.djvu/84

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
LXXX. Pas de nouvelles, bonnes nouvelles.
LXXXI. L’oisiveté est la mère de tous les vices.
LXXXII. Qui aime Martin aime son chien.
LXXXIII. Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il est enragé.
LXXXIV. La fin justifie les moyens.
LXXXV. Les amis de nos amis sont nos amis.
LXXXVI. Quand le vin est tiré, il faut le boire.
LXXXVII. Tant va la cruche à l’eau, qu’à la fin elle se casse.
LXXXVIII. Les jours se suivent, mais ne se ressemblent pas.
LXXXIX. Fin contre fin ne fait pas bonne doublure.
XC. On n’est jamais trahi que par les siens.
XCI. Entre l’arbre et l’écorce, il ne faut pas mettre le doigt.
XCII. Ce qui vient de la flûte retourne au tambour.
XCII. Il ne faut pas parler de corde dans la maison d’un pendu.
XCIV. Ce qui est différé n’est pas perdu.
XCV. Quand il n’y a plus de foin au râtelier, les ânes se battent.
XCVI. La caque sent toujours le hareng.
XCVII. Comme on fait son lit, on se couche.
XCVIII. Le mal de l’un ne guérit pas celui de l’autre.
XCIX. Ce que femme veut, Dieu le veut.
C. Ce qui enrage ne dure pas.