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Dieux ! qu’il est assommant ! Mais faites-en lecture ;
S’il est bon, quelquefois, de bâiller à propos
Et si toute insomnie enfante une torture,
Ce philosophe amène un somme et du repos.

Surtout, gardez-vous bien de le doubler, ma chère :
Tout propos de malice est un brûlot fumant !
En subir est fâcheux. Mais devenir commère,
Soupçonner et noircir, ah ! c’est presque infamant !


XLVII

« Je termine, mon …., un modeste voyage
Aisément accompli sur les rives du …. ;
Dans ma bourse il n’a fait ni trou ni nettoyage :
Mes pieds ont payé seuls ; un cheval est trop ….
Je ne vous dirai point qu’en cette promenade
J’ai fait …. friande et me suis régalé :
Rien que la …. des veaux et l’amère salade !
Cela ne coûte guère et c’est vite avalé.
J’ai parcouru la Creuse à la fraîche verdure
Et jeté sur l’Allier des regards en passant ;
Dans l’Indre, quelquefois, je couchais sur la dure ;
Le …. m’a traité mieux, j’en suis reconnaissant.