Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/96

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
81


sur le sofa, afin que je puisse voir son magnifique cul et, quand je déconnerais, je lui montrerais un moyen de continuer le plaisir pour nous deux.

Aussi, après l’avoir foutue par derrière et l’avoir fait décharger plusieurs fois, je déconnai et, passant ma pine entre les lèvres de son con contre son clitoris où je lui fis continuer ses mouvements de va-et-vient, ce qui la fit encore décharger en même temps que moi, qui inondai son ventre de foutre. Elle déclara que c’était presque aussi bon que dedans.

Je lui proposai ensuite d’enfoncer un peu la tête dans son trou du cul, juste assez pour pouvoir décharger dedans.

Elle consentit avec une certaine répugnance d’abord, mais par la suite, non seulement elle laissait entrer la tête, mais elle exigeait que je lui enfile toute la pine, ce qui la faisait énormément jouir. Généralement c’était toujours là que je faisais la décharge du premier coup, mais le second se tirait toujours entièrement dans son cul ; aussi elle devint bientôt une « enculeuse » de première force.

Les deux sœurs s’aperçurent bientôt que je les foutais toutes les deux, aussi il arriva qu’elles descendaient doucement de leur chambre où elles couchaient toutes deux dans le même lit, pour venir me trouver et jouir de délicieuses fouteries et d’un double gamahuchage.

Anne baisait plus voluptueusement et plus las-