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la plus grande difficulté que je pus opérer l’introduction ; j’en avais eu beaucoup moins avec sa jeune sœur dont le con ne paraissait pas aussi largement fendu. Je me sentis aussi étroitement serré que la première fois que j’enfilai Ellen. Tout étroit que c’était, elle n’en ressentait pas moins un plaisir délicieux ; elle se mit de suite à manœuvrer ses fesses, et elle était réellement une des fouteuses les plus voluptueuses et les plus lascives que j’aie pu rencontrer pendant toutes mes expériences, qui ont été très nombreuses.

En la branlant et la foutant, je la fis décharger six fois avant de retirer subitement ma pine dont je pressai la tête entre ses lèvres et mon propre ventre pour décharger en dehors. Peu de temps après, je bandai à nouveau et, cette fois-ci, après avoir déchargé aussi souvent que la première fois, car elle était affreusement voluptueuse, elle se glissa de dessous moi subitement quand je déconnai et, saisissant ma pine d’une main, se baissa, prit la tête entre ses lèvres et me fit rapidement couler un torrent de foutre dans sa bouche ; elle avala tout, tout en continuant à sucer, à ma plus grande joie.

Nous aurions certainement tiré un troisième coup si elle n’avait pas été obligée de descendre rejoindre sa tante.

Je déjeunai et sonnai à nouveau. Nous eûmes encore une délicieuse fouterie et une quatrième quand elle vint faire le lit et apporter de l’eau. Cette fois-ci je la priai de se mettre à genoux