Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/94

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion
79

— Puis-je me fier à vous, dit-elle ?

— En toute sûreté, ma chère.

— Alors, vous pouvez me la mettre, mais, auparavant, laissez-moi embrasser cet objet chéri.

Se courbant alors, elle l’embrassa avec passion et, en même temps, elle frissonna avec plaisir à la suite d’une copieuse décharge, que lui avait occasionné la vue et le toucher de cette énorme saucisse. Elle poussa deux ou trois « oh ! » et me menant vers [le] lit en me tenant toujours par la pine, elle s’y coucha à la renverse en relevant tous ses jupons.

Je pus alors jouir de la vue de son con dans toute la magnificence de sa longueur et de sa fourrure. Je tombai à genoux et collai mes lèvres à cette entrée humide, car elle était une de celles qui déchargent toujours très copieusement ; son con avait une odeur délicieuse de foutre ; le sien était très épais et très gluant pour une femme. Je léchai son clitoris, la rendant absolument folle de désirs ; aussi s’écria-t-elle :

— Oh ! mets-moi ton immense pine, mais rappelle-toi ta promesse.

J’approchai ma pine de ce con bien fendu, avec des lèvres larges et saillantes ; je pensai, quoique très grosse, que je pouvais très facilement y glisser ma pine d’un seul coup jusqu’au-dessous de la tête ; aussi on peut imaginer ma surprise de trouver la plus petite et la plus étroite entrée du vagin que j’aie jamais rencontrée ; ce fut vraiment avec