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supposé. Graduellement, elle cessa toute résistance pour ces petites libertés et s’asseyait d’elle-même sur mes genoux pour se faire embrasser. Une fois, sa robe était légèrement ouverte devant, j’en profitai pour toucher à l’intérieur ce que je n’avais encore fait que tâter à l’extérieur et, petit à petit, j’arrivai à caresser entièrement ses jolis petits tétons. Je pensai alors que je pouvais me permettre de plus grandes familiarités ; aussi, un jour qu’elle était assise sur mes genoux, ayant passé un bras autour de sa taille, je la pressai contre moi et, avant qu’elle eût pu se rendre compte de mon mouvement, ma main caressait déjà son mont de Vénus, qui était déjà recouvert d’une épaisse toison. Elle se leva instantanément, mais comme je la tenais fortement maintenue par la taille, elle ne put se sauver, et cette nouvelle position me permettait de glisser plus facilement ma main entre ses cuisses et de toucher son joli petit con saillant. J’essayai de branler son clitoris, mais en se baissant elle retira son con et, me regardant avec une innocente expression de frayeur et avec une parfaite inconscience de ses paroles, elle me cria :

— Oh ! faites attention à ce que vous faites. Vous ne savez pas ce qu’il en a coûté au locataire, l’été dernier, pour m’avoir saisie ainsi et m’avoir fait du mal. J’ai crié, ma tante est montée et il a dû payer, pour son impudence, 1.250 francs.

Je ne pus m’empêcher de sourire à l’extrême innocence de cette petite fille.