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elle pensa qu’elle n’était pas encore suffisamment préparée pour lui permettre cette fantaisie ; il lui dit seulement que le tortillement d’un aussi joli fessier que le sien devant ses yeux l’excitait furieusement. Il lui proposa ensuite de s’étendre allongée sur Henry à contre-sens, de manière à pouvoir le gamahucher pendant qu’il lui branlerait son gros clitoris.

— Vous voulez donc me faire mourir entre vous deux ? dit-elle, mais elle se prêta avec plaisir à cette pose. Elle suça la pine d’Henry qui déchargea dans sa bouche ; elle avala tout avec la plus grande avidité, déchargeant elle-même au même moment un peu avant le pasteur. Henry continua de la branler d’une main, pendant qu’avec l’autre il branlait le trou du cul du pasteur. Le combat dura très longtemps, elle fit décharger Henry deux fois dans sa bouche, pendant qu’elle-même le faisait trois fois et le pasteur seulement une ; enfin ils tombèrent tous anéantis par la décharge finale, complètement insensibles à tout, et quand ils revinrent à eux, ils se séparèrent et se retirèrent chacun dans leur chambre.

La glace étant ainsi rompue, les jours suivants se passèrent dans la plus grande débauche. Le pasteur arriva à l’enculer et lui demanda la permission d’enculer aussi Henry après qu’Henry l’aurait enculée elle-même pendant que le pasteur la foutrait par devant. Il voulut aussi se faire enculer par Henry, et quand il le fit, il se mit à crier très fort : « Hi !… hi !… hi !… » comme si on lui