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poussant des soupirs de ravissement. Nous restâmes longtemps insensibles à ce qui nous entourait, palpitants encore de nos lascives jouissances, et nous aurions été bientôt prêts pour une nouvelle course, mais maman me murmura qu’il serait imprudent de continuer, car il était l’heure de déjeuner.

« Je me retirai avec regret de ce con délicieux et, glissant hors du lit, j’y appuyai ma bouche, je lui donnai un baiser passionné et le suçai, jouant avec les magnifiques poils frisés qui le recouvraient, puis enfin me décidai avec grandes difficultés à rentrer dans ma chambre.

« Ainsi se termina la première séance de jouissances avec ma mère ; elle fut suivie par des nuits et des nuits de voluptés les plus lubriques. Je m’habillai à la hâte et descendis déjeuner avant elle. Le pasteur m’informa qu’elle l’avait averti de ne pas compter sur elle la nuit prochaine sous prétexte qu’elle ne se trouvait pas bien, mais en réalité c’était pour me réserver la nuit entière, nuit qui fut, sans contredit, des plus voluptueuses. Elle exerça et laissa le plus libre cours à ses passions lubriques, jamais auparavant je n’avais si bien joui. C’était peut-être l’alliance si proche entre nous qui ajoutait à notre excitement, mais elle me fit l’effet de surpasser même la splendide femme du pasteur. Oh ! elle était si aimante ! la façon dont elle me prenait dans ses bras et me caressait était irrésistible.

« Je ne puis dire combien nous le fîmes de fois, nous fûmes après, toute la nuit.