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— Ellen, pourquoi ne le retirez-vous pas ? Il me viole ! Oh ! l’horreur, il commet un inceste !

Elle paraissait se débattre énormément, mais les tortillements de son cul ne faisaient que m’enfoncer plus avant dans son con, ce qui tournait à son profit.

— Oh ! Ellen, Ellen, venez à mon secours !

— Ah, non ! dit Ellen, je le laisse faire, car vous ne pourrez rien dire de nous.

Ma tante parut atterrée de cette réponse, elle se mit subitement à pleurer, plongeant sa tête dans le lit de désespoir et pour cacher ses larmes, mais me secondant tout le temps le mieux du monde. Comme la crise approchait, elle releva la tête en disant :

— Pardonnez-moi, Seigneur ! mais ce simple petit garçon me fait éprouver un plaisir plus grand que tous ceux que j’ai ressentis jusqu’à ce jour.

Elle se laissa alors aller à toute sa lubricité et nous arrivâmes à la crise avec la plus grande extase de volupté. Ma tante laissa tomber sa tête sur le lit, pendant que les étreintes intérieures de son con rendaient à mon vit sa raideur primitive. Elle sentit ses soubresauts et y répondit ; mais pensant alors qu’une répétition immédiate ferait connaître notre intimité précédente, elle tourna subitement sa figure et son corps, délogeant par ce mouvement ma pine, qui fit un grand bruit en sortant. Elle recommença à pleurer (les femmes pleurent quand elles veulent) et à me gronder pour