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minaires précédèrent notre prochaine course, que nous ne commençâmes que lorsqu’il ne nous fut plus possible de nous retenir, et nous mourûmes encore dans tous les ravissements d’une luxure satisfaite, et nous tombâmes encore une fois dans cette délicieuse langueur qui suit les plaisirs amoureux. Nous procédâmes ensuite à un gamahuchage mutuel, et enfin une dernière fouterie termina la présente séance, car il était temps de s’habiller et de se tenir prêts pour le lunch.

Lorsque notre toilette fut finie, je la pris sur mes genoux et l’informai que la nuit je me glisserais sans bruit dans sa chambre, et qu’elle ne devait donc pas fermer sa porte à clef. Je la prévins aussi que nous devions faire le moins de bruit possible, parce que ma tante couchait dans la chambre voisine. Elle fut enchantée à cette idée de m’avoir entièrement à elle toute la nuit, me disant naïvement que je la faisais bien mieux jouir qu’Henry, que je semblais remplir tout son corps d’une volupté bien plus intense, et que maintenant qu’elle allait pouvoir jouir de moi toute la nuit, elle voudrait voir sa tante rester partie pendant un mois. La chère créature m’entoura alors le cou de ses bras et m’embrassa en fourrant sa douce petite langue dans ma bouche. On peut être assuré que je lui en fis autant, et ayant passé ma main sous ses jupons pour branler son charmant petit con, j’allais la porter sur le sofa, quand ma tante ouvrit la porte et arrêta nos manœuvres.

Elle ne parut pas s’apercevoir de la confusion