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se débarrassa de son chapeau et de son manteau, et défit sa ceinture (elle ne portait pas de corset). Je la saisis dans mes bras et la portai sur le sofa, puis je retroussai ses jupes, admirant son ventre d’albâtre et son con qui était beaucoup plus garni de poils. Je me baissai et me mis de suite à la gamahucher. Elle était tellement excitée, qu’en moins de deux minutes, elle soupira profondément, pressa ma tête contre les lèvres de son con, et laissa couler son foutre doux et crémeux. Je bandais moi-même tellement fort que, sans prendre le temps de le lécher, j’approchai mon gros vit du charmant orifice, où je le plongeai d’un seul coup jusqu’aux couilles, faisant presque perdre à Ellen sa respiration. Mais elle se remit à l’instant et, avec toute la fureur de sa jeune lubricité, elle nous amena rapidement tous deux à l’extase finale dans laquelle l’âme et le corps semblent s’évanouir d’un plaisir trop grand pour que notre pauvre humanité puisse le supporter.

Nous demeurâmes enlacés l’un dans l’autre pendant un certain temps, et perdus pour tout ce qui nous environnait. Nous reprîmes enfin nos sens ; je me levai et dis que la prochaine fois nous ne devions pas manœuvrer aussi rapidement.

Le feu avait brûlé, et comme la chambre était petite, il y faisait une température très supportable et très douce ; aussi je priai Ellen de se dévêtir, je quittai moi-même tous mes habits, et nous pûmes bientôt nous admirer mutuellement dans toutes nos beautés naturelles. Quelques délicieux préli-