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« Je me glissai à ses côtés dans son lit sans le réveiller, en ayant bien soin de relever ma chemise de manière à ce qu’il puisse bien sentir le contact de ma peau nue. Je ramenai le drap sur nous, le pris dans mes bras et le réveillai en l’embrassant.

« Il fut surpris et ravi de me trouver à ses côtés, en se réveillant, mais il n’avait pas encore d’autre idée que de m’embrasser et me câliner.

« En passant mes bras autour de son corps, j’avais fait en sorte de relever sa chemise de nuit au-dessus de ses reins, de sorte qu’en nous étreignant, son corps tout nu était en contact avec le mien.

« Jouant la surprise, je lui demandai qu’est-ce qu’il y avait d’aussi dur qui se pressait contre moi, allongeant ma main, tout en parlant, et m’en emparant. Sa pine palpita violemment à mon toucher. Je rejetai le drap loin de nous pour voir ce que c’était.

« — Allons, dis-je, qu’est-ce que c’est que ça ? Quel changement ! Ce n’était pas comme cela quand tu t’es couché hier soir. Comment est-ce venu dans cet état bizarre ?

« — C’est toujours ainsi, ma chère cousine, le matin quand j’ai envie d’uriner, puis ensuite ça redevient mou.

« — Alors, lève-toi et pisse, moi je veux pisser aussi.

« Il prit le vase et pissa. J’en pris un autre et pissai aussi, me tenant debout, les jambes bien