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laisse la parole pour ce qui va suivre ; elle me dit :

« L’immunité constante dans nos excès nous rendit imprudents et fut la cause que nous fûmes découverts par mon père, qui parut scandalisé et épouvanté de sa découverte, mais il se remit bien vite et la réconciliation eut lieu ; mon père se paya le jeune laquais qui fut introduit dans nos orgies incestueuses, pendant lesquelles il enculait mon père et se faisait enculer par lui, ou encore ils me donnaient la jouissance exquise de les posséder tous les deux en même temps dans mon con et dans mon cul.

« Pendant cinq ou six ans j’eus ces deux charmants fouteurs pour satisfaire ma luxure.

« À cette époque un superbe jeune homme de quatorze ans, le fils d’un plus jeune frère de mon père, par conséquent mon cousin germain, vint habiter avec nous. Il était orphelin et avait été laissé par sa mère sous la tutelle de mon père. J’avais trois ans de plus que lui et il me regardait comme une sœur aînée, il m’aimait beaucoup comme sa sœur, me caressait et m’embrassait le plus affectueusement du monde. Quant à moi, j’éprouvai bientôt pour lui d’autres sentiments et surtout d’autres sensations.

« Dès son arrivée, à cause de son chagrin de la perte de son dernier parent, il avait peur d’aller se coucher tout seul, aussi j’avais l’habitude de l’accompagner et de l’aider à se déshabiller. Il était tout ce qu’il y a de plus innocent ; sa mère, jus-