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c’est curieux ! Est-ce que c’est toujours ainsi ? » « — Non, pas toujours. » « — Alors, pourquoi est-ce comme cela maintenant ? » « — Je ne sais pas, mais quelquefois dans vos mouvements, en me donnant mes leçons, votre coude la touche, ce qui la fait devenir dans cet état. » Pendant tout ce temps, elle me maniait la pine d’une manière des plus gentilles et des plus excitantes, ce qui amena rapidement les joies spasmodiques et divines que les mortels peuvent éprouver, mais naturellement avec un résultat simplement nerveux. Ce fut tout ce qu’elle se permit ce jour-là ; elle me fit reboutonner, me disant que c’était très vilain d’encourager une pareille habitude, que je devais être très prudent et ne laisser connaître à personne que je devenais raide et dur.

« Elle continua ainsi pendant un ou deux jours ; mais voyant que je n’avais rien dit à personne, elle voulut exécuter son grand projet. Je fus retenu un jour comme précédemment ; elle m’excita comme d’habitude et sortit bientôt ma pine toute raide. « — Maintenant, me dit-elle, je vais t’initier aux mystères de Vénus, je vois que tu es discret et que je puis me fier à toi ; couche-toi sur ce banc d’école. » Je me couchai ; elle releva ma chemise, mon pantalon était déjà sur mes talons ; elle releva jupons et chemise, elle s’agenouilla à mon côté et se mit à me sucer la pine si délicieusement, que je crus qu’elle allait éclater. Elle se releva alors, m’enjamba, releva ses jupons jusqu’au ventre et me montra, à ma grande stupéfaction,

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