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pour venir à ton secours ; elle viendra, mais je me tromperais bien si elle faisait autre chose que d’aider Charles à te maintenir. Tu devras paraître ensuite très offensée ; mais à la fin, conquise par la beauté et la grosseur de la pine de Charles, tu te réconcilieras avec lui et tu pourras partager leurs plaisirs.

Tels furent les conseils que nous donna cet homme admirable avec sa profonde connaissance du monde et du beau sexe, conseils que nous suivîmes de point en point, comme on le verra par la suite.

Cependant ma tante, excitée par cette perspective, avait pris ma pine dans sa bouche, elle la suça jusqu’à ce qu’elle fût très raide ; puis, montant sur moi, elle commença à se trémousser si bien, tortillant son admirable derrière, que cela enflamma à nouveau mon oncle. Trouvant que sa pine se tenait suffisamment raide, il s’agenouilla entre mes jambes et, à la grande satisfaction de ma chère tante, il lui donna le double plaisir d’être foutue par deux pines à la fois, l’une devant, l’autre derrière.

Mon tuteur avait désiré que je restasse avec mon oncle pendant les vacances et que je ne le quitterais tout à fait qu’à la fin de l’année scolaire. Je ne connaissais pas ses raisons à ce moment, mais je sus que lui-même alla voir ma mère, passa quinze jours à la maison et fit beaucoup attention à miss Frankland. Il annonça son désir de voir mes sœurs entrer en été dans une école de première