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lui avoir fait un bébé stimulait leurs passions à tous deux. Elle déclara que jamais de sa vie elle n’avait autant joui. Ils se servaient des expressions les plus obscènes pendant leurs jouissances, comme s’ils venaient de briser une dernière barrière qui se trouvait encore entre eux, rendant ainsi leur amour incestueux plus excitant et détruisant entièrement tous les liens naturels qui les retenaient.

Avant de se séparer, ils tinrent conseil pour savoir de quelle manière ils feraient accepter cette paternité à son mari.

C’était un homme de cinquante-cinq ans, ayant naturellement passé l’âge des passions, foutant très tranquillement et très difficile à faire bander.

Elle savait qu’il se réveillait toujours en bandant, mais cela ne se terminait pas toujours par une fouterie. C’est là-dessus qu’ils fondèrent leurs espérances ; ils convinrent qu’elle droguerait son café, et que pendant qu’il dormirait encore le matin, elle lui peloterait la pine, la ferait bander, lui tournerait le cul, se l’enfoncerait dans le con, manœuvrerait gentiment, le ferait décharger, ce qui le réveillerait, mais le maintiendrait quand même dedans, sous prétexte qu’elle ne saurait pas ce qu’elle fait sous l’excès de la jouissance, mais reprenant rapidement ses sens, le gronderait pour avoir tout déchargé dedans.

Tout cela arriva comme on l’espérait, il se réveilla en déchargeant, mais sa femme exerça sur sa pine une pression si délicieuse et si inusitée,