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(palpitations que sa pine ressentit) ; il rebanda rapidement dans l’étroit sentier où il était resté logé et il courut une deuxième course exquise à la grande satisfaction de sa mère et de la sienne.

Il décula alors pour la soulager du poids de son corps qu’elle avait supporté si longtemps, ils s’étreignirent mutuellement leurs corps entièrement nus et s’entretinrent des immenses voluptés qu’ils venaient d’éprouver tous deux.

Sa mère lui déclara que son père ne lui avait jamais donné des jouissances aussi délicieuses que celles de son fils. Ils se pelotèrent et s’embrassèrent, jusqu’à ce que, ayant manipulé sa pine avec habileté, elle eût obtenu encore deux enfilages, un dans chaque trou, et se séparèrent pour la journée.

Le second mois elle s’aperçut que ce qu’elle craignait était arrivé. Son fils lui avait fait un enfant ; elle pleura en lui communiquant ce résultat malheureux, mais le comte, comme moi, bandait toujours avec fureur quand il voyait les larmes d’une femme.

Cette confidence fut suivie de plusieurs coups splendides, tous dans le con, car maintenant que la faute était faite il n’était plus nécessaire de prendre des précautions.

Sa mère s’abandonna à lui avec plus de lubricité qu’elle ne l’avait encore fait et se tortilla avec une telle vigueur, une telle énergie et une telle habileté qu’elle le fit décharger huit fois en un espace de temps excessivement court. L’idée de