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tu touches en ce moment (il lui branlait gentiment le clitoris, qui était très développé), jusqu’à ce qu’il m’ait fait décharger plusieurs fois, et quand il sent qu’il va décharger lui-même, il se retire et pousse la tête de sa pine dans mon cul où il décharge. Tu dois agir de même, mais il ne faut pas entrer entièrement ce long et gros morceau. Oh ! viens dans mes bras, mon fils, tu m’as tellement excitée qu’il faut que tu me le mettes immédiatement.

Là-dessus le comte monta sur elle et la foutit si délicieusement, qu’entourant son corps et ses reins de ses bras et de ses jambes, elle ne lui permit pas de se retirer, mais déchargea en même temps que lui avec délices et lui demanda aussitôt de recommencer, de sorte que ce ne fut qu’au moment de la troisième décharge que, levant ses jambes en l’air et soulevant son cul le plus possible, elle prit sa pine dans la main qu’elle guida dans le délicieux et étroit orifice, et comme tout était mouillé par les précédentes décharges, non seulement la tête entra sans difficulté, mais la pine tout entière. Elle s’écria : « Pas si loin, pas si loin », mais il commença ses mouvements de va-et-vient, ce qui l’excita tellement qu’elle se mit à tortiller le derrière avec son habileté habituelle et déchargea avec délices au moment où lui-même inondait de son foutre brûlant l’intérieur de ses entrailles.

Il passa une main entre leurs corps pour chatouiller son clitoris, ce qui fit palpiter son con