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mère et les plus délicieuses pressions intérieures dans son con vraiment ravissant.

Elle le quitta à la fin, mais après un tel début, ils renouvelèrent tous les jours ces combats amoureux.

Sa mère prouva qu’elle était savante dans toutes les ressources de la luxure. C’était une femme splendidement faite, passionnée au possible, qui donnait libre cours à sa lubricité pour satisfaire sa luxure par tous les moyens possibles. Quelques jours après ces premières fouteries, elle venait très légèrement vêtue, sans corset ou autres vêtements encombrants, de manière à pouvoir se mettre tout nus et foutre à leur aise.

Le comte nous assura que, quoique ayant possédé depuis des femmes excessivement belles, il n’a jamais éprouvé un plus grand plaisir qu’avec sa mère, passionnée, lascive et lubrique, et que sans doute aussi l’idée de l’inceste ajoutait au bonheur que lui procurait ce con si bien fait et si ardent.

Après la première semaine de ces rencontres amoureuses, sa mère lui dit :

— Mon cher Ferdinand, nous sommes très imprudents, tu vas me faire un enfant si nous ne prenons pas des précautions. Ton père ne veut plus avoir d’enfants et fait ce qu’il faut pour ne pas en avoir.

— Comment fait-il donc, ma chère maman ?

— Eh bien, mon chéri, il manœuvre doucement, et tandis qu’il a sa pine enfoncée dans moi, il me branle avec le doigt le point sensible que