Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/225

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
198


du blé ; le comte était déjà assis sur le blé, mais bien plus bas qu’elle. Sa mère, ce jour-là, releva accidentellement tous ses vêtements, montrant en plein son joli cul, et en se baissant en arrière pour s’asseoir, son joli con tout couvert de poils. C’en était trop pour le comte ; en un moment sa pine se tendit à éclater et instantanément il déboutonna son pantalon ; sa mère, s’apercevant qu’elle s’était assise à cul nu sur le blé, se pencha du côté opposé de son fils pour ramener ses jupons sous son derrière, mais le comte la saisit avec un bras autour de la taille, pressa son corps contre le sien déjà plié, la força à rester sur le côté et lui introduisit sa pine jusqu’aux couilles d’un seul coup avec tant de fureur qu’il lui fit pousser un cri, non seulement de surprise, mais aussi de peine. Elle se débattit pour se dégager, mais elle fut maintenue avec la force de sa sauvage luxure. Deux ou trois coups de va-et-vient suffirent pour amener un premier torrent de foutre ; cela lui lubrifia le con ; sa pine n’avait pas débandé, mais elle était aussi raide que jamais, et sans presque se reposer, il recommença une fouterie bien plus délicieuse que la précédente. Sa mère cependant était atterrée à l’idée d’un aussi horrible inceste, mais comme c’était une femme excessivement ardente, elle ne put sentir une aussi belle pine lui labourer délicieusement l’intérieur du con, sans sentir s’allumer ses passions malgré elle.

Comme toute la peine de l’introduction dans son con non préparé était passée et que la copieuse