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conter pendant cette pause, je vais raconter la suite de notre orgie et alors je donnerai une narration complète de cette étrange intrigue, ainsi que d’autres de son jeune âge, mais je dois dire de suite que son histoire avec sa mère excita tellement notre luxure que nous nous livrâmes alors à la double jouissance, à laquelle ma femme adorée se livra avec délices, mais aussi le comte et moi-même à tour de rôle.

Nous fîmes de tels excès que nous tombâmes épuisés, et la nuit suivante nous avions tellement sommeil que d’un commun accord nous allâmes tranquillement nous coucher et remîmes au lendemain matin nos combats dans le champ de Vénus.

Nous trouvâmes que cela nous restaurait si bien de nos excès amoureux que nous adoptâmes ce système de dormir une nuit et de foutre l’autre.

Nous passâmes un temps délicieux, montant à cheval ou nous promenant dans le délicieux paysage et allant visiter de vieux châteaux. Le comte lui-même en avait deux, mais celui au-dessus de la maison était de beaucoup le plus intéressant et était l’habitation première de ses ancêtres, des barons voleurs et bandits de l’époque, et les paysans de la contrée racontaient encore des faits horribles à leur sujet.

Le château, quoique dans un ravin entre deux collines, était situé sur un haut rocher à pic d’une hauteur d’environ cent cinquante pieds ; ce rocher était couronné d’une haute maçonnerie qui servait de fondations au corps principal du logis qui était