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pudeur. Viens, mon Charles, laisse-moi offrir ton cul à la luxure de notre cher ami Grandvit.

Ma chère femme maniait tout en parlant la pine de Grandvit, dont la raideur extraordinaire montrait qu’il était prêt à surmonter toutes les difficultés.

Je fis semblant d’être effrayé par ses dimensions, prétendant qu’un pareil morceau ne pourrait pas entrer dans ce petit trou de délices sans me faire souffrir énormément.

— Tu n’en sauras rien jusqu’à ce que tu essayes, s’écria ma femme bien-aimée.

Elle jouait dans tout cela une scène que je lui avais apprise, car j’étais avide non seulement de sentir Grandvit dans mon cul, mais aussi de m’enfoncer son trou du cul, large, rude, poilu, plissé et de couleur bien clair. Pour cela je n’avais pas les mêmes goûts que mon ami Mac Callum qui aimait les jolis trous du cul roses, sans poils, des jeunes gens, tandis que moi j’aimais tout-à-fait le contraire du sexe faible, dont les trous du cul sont généralement d’un rose délicat, ce qui a aussi son charme naturellement.

Mais, quant aux hommes, ils m’excitaient doublement quand ils étaient comme mon ami le comte, tout à fait différents des femmes. Brun foncé, bien ridés, couverts tout autour de poils drus et rudes, tels sont les trous du cul qui excitent ma luxure et font que la pédérastie a un contraste délicieux avec l’enculage d’une femme, le trou du cul de mon ami Grandvit était un de ceux que j’aimerais à enculer le plus souvent.