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qu’elle poussa des hurlements et tomba anéantie par sa luxure satisfaite.

Ma chère femme, qui s’était mise sur elle, avait été délicieusement gamahuchée par Grandvit, qui enculait sa femme.

Nous changeâmes alors de partenaire ; il enconna ma femme dans le cul de laquelle je plongeai mon énorme pine. La Grandvit se mit à son tour sur elle et la gamahucha comme son mari avait gamahuché ma femme.

Cette course fut courue avec volupté et termina pour le moment notre orgie. Nous nous habillâmes, après avoir bu tout le champagne, nous fîmes venir la vieille maquerelle que nous payâmes et remerciâmes pour les scènes si excitantes qu’elle nous avait procurées.

Sur notre demande, elle nous avoua que les autres chambres de voyeurs avaient été occupées par d’autres couples, et qu’un vieux monsieur avait pris deux de ses petits garçons pour se faire opérer et opérer lui-même, car la scène qui se passait devant lui l’excitait tellement qu’il avait voulu faire la pareille pour lui-même. Il venait de partir, car il était resté pour écouter ce que nous faisions et lui avait raconté que deux messieurs, après avoir assisté à la scène, avaient initié leurs femmes au plaisir de la double jouissance et que l’excitement occasionné par ce qu’il entendait avait été si grand qu’il l’avait obligé à jouir encore en enculant le plus joli des garçons pendant qu’il se faisait enculer par l’autre.