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Le quatrième foutait la vieille garce, à sa grande satisfaction et aussi à la nôtre.

Celui qui avait foutu la vieille fut alors placé au milieu, celui qui avait été enculé devint son enculeur à son tour pendant que le précédent enculeur devint son enculé. Celui qui avait occupé précédemment la place du milieu, au lieu de foutre la vieille putain, l’encula carrément, ce qui lui procura une grande jouissance très évidente.

C’était justement ce que je désirais, car jusqu’ici, dans nos parties carrées, avec les Grandvit, nous n’avions pas encore foutu les femmes dans le cul ; mais, ainsi que nous nous en aperçûmes plus tard, ils s’étaient souvent offert cette jouissance, comme nous du reste. Maintenant nous jouissions à la vue de la vieille putain tortillant son cul avec volupté, poussant des exclamations de plaisir, car c’était la plus grosse pine des quatre, et elle était fort belle, qu’elle avait dans le cul.

Nous avions déjà ramoné une fois les cons de nos femmes, pendant la première scène d’enculage.

— Essayons cela, murmura ma femme à Grandvit, car la vieille femme paraît éprouver un très grand plaisir.

C’était ce qu’en lui-même Grandvit désirait le plus ardemment. À la proposition de ma femme, sa pine se remit à bander, à éclater. Elle s’agenouilla sur une chaise devant un trou par lequel elle regardait. Grandvit approcha sa jolie pine, qu’il avait mouillée en crachant dessus, près du