dos d’Henry. Je savais que je serais fouetté avec force, car je voyais le pasteur assez excité pour chercher à l’être encore davantage. Il me demanda d’abord comment j’avais pu arriver à mes coupables actions. Je lui répondis que je n’avais fait que suivre son conseil de lui laisser voir ma pine, ce que j’ai fait et qui me réussit à merveille. Vrsh !… Vrsh !… Vrsh !…
— Est-ce que tu penses avoir commis là une faute innocente ?
— Oh ! oui, épargnez-moi, monsieur, ne frappez pas si fort.
Vrsh !… Vrsh !… Vrsh !…
— T’épargner, vraiment ! Dis-moi, baise-t-elle bien ?
— Oh ! monsieur, d’une manière admirable.
Vrsh !… Vrsh !… Vrsh !…
— Combien l’as-tu fait de fois ?
— Je ne puis vraiment pas le savoir, monsieur, nous avons été après toute la nuit et encore ce matin.
— Est-ce qu’elle t’a sucé la pine ?
— Oh ! oui, monsieur.
Vrsh !… Vrsh !… Vrsh !…
— Qu’est-ce qu’elle en pense ?
— Elle a dit que c’était la plus belle qu’elle eût jamais vue et que je devais la réserver pour elle seule.
— C’est bien, en voilà assez, maintenant, suce-moi la pine comme elle a sucé la tienne.
Il arriva bientôt au dernier degré d’excitement.