Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/188

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
167


où elle prit des livres obscènes, admirablement illustrés. La vue en était très excitante ; ses yeux expérimentés se délectaient à la tension de mon pantalon ; l’étendue de cette tension parut tellement la stupéfier qu’elle ne put s’empêcher d’y porter la main ; poussant une exclamation de surprise sur de pareilles dimensions, elle dit qu’il fallait qu’elle vît une aussi belle pine, déboutonna mon pantalon et la mit au jour. Elle la mania avec amour et devint si excitée que je ne sais pas ce qui serait arrivé, car j’avais déjà glissé une main vers son cul ferme et large, quand on frappa à la porte et une voix annonça simplement que tout était prêt. Cela me rappela à moi-même, quoique la putain eût voulu en avoir davantage avant de me laisser aller dans l’autre chambre. Elle me dit :

— Quel dommage de ne pas me laisser m’enfiler cette magnifique pine ! J’aurais voulu que ces hommes ne vinssent pas si tôt, je suis sûre que vous me l’auriez mise si nous n’avions pas été interrompus, et je puis vous assurer que vous m’auriez trouvée aussi bonne fouteuse que la plus jolie femme que vous puissiez rencontrer.

Je me mis à rire et, pour la tranquilliser, je lui dis que nous ferions cela une autre fois, lui assurant qu’elle était une femme très jolie et très désirable.

Après ce compliment elle se leva et m’accompagna à la chambre où les deux hommes nous attendaient. C’étaient deux hommes grands et