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— Alors, jeunes gens, vous avez séduit votre cousine, n’est-ce pas ?

Vrsh !… Vrsh !… Vrsh !…

— Et c’est là toute votre excuse pour manquer l’école ?

— Je croyais vous avoir déjà suffisamment fouetté pour vous enlever cette envie de foutre votre cousine.

Vrsh !… Vrsh !… Vrsh !…

Le pauvre Henry souffrait réellement.

— Oh ! monsieur, je ne le ferai plus jamais sans votre permission.

— Ma permission, vraiment !

Vrsh !… Vrsh !… Vrsh !…

Le pasteur, pendant quelque temps, fouetta vraiment très cruellement jusqu’à ce que la peine se changeât en plaisir ; la pine d’Henry se mit à bander, se frottant contre mes fesses chaque fois que le pasteur lui appliquait un coup de verge. En voyant cet effet attendu, le pasteur se relâcha de sa sévérité, et changeant sa verge de main, il ne s’en servit plus après que pour chatouiller ce joli derrière et le maintenir dans un certain excitement. Prenant dans sa main le vit tout raide, il dit :

— Ainsi voici l’oiseau qui a fait tout le mal.

Il branla un peu, se courba et se mit à sucer.

— Ah ! oui, je sens qu’elle a encore le goût du con, elle sent absolument cette odeur ; ainsi tu l’as encore fait ce matin ? Dis-moi comment cela est arrivé.

Henry se leva alors et se tint debout devant le