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Les femmes auraient bien voulu tirer un deuxième coup sans déconner, mais mon oncle et ma tante s’y opposèrent tous deux, car cela épuisait les hommes sans variété. Aussi ma tante me choisit, mon oncle prit le petit con de la jeune Ellen, Henry se tourna vers le con de sa mère et le comte eut la superbe Frankland dont il n’était jamais fatigué. Les hommes firent durer cette rencontre plus longtemps que la première, voulant seulement un peu soulager l’insatiable luxure des femmes en les faisant décharger bien plus souvent que leurs fouteurs.

Nous nous arrangeâmes de manière à ce que tout le monde finît en même temps ou à peu près, et les femmes nous suivirent dans la crise finale qui eut lieu avec des cris sauvages de luxure ; puis, soudain, un silence général se fit, tout le monde étant tombé anéanti par le plaisir qui suit la décharge divine de l’essence de vie, plutôt de « vits ».

Nous nous levâmes tous pour un pelotage général de nos corps nus, jouant à nous donner des claques sur les fesses, maniant les cons et les pines, un jeu tellement excitant, que notre vigueur fut bientôt évidente, excepté celle de mon pauvre oncle, qui avait besoin d’une pose plus longue et d’un excitement plus long avant de pouvoir tirer son troisième coup.

Le comte s’empara du trou du cul de la Frankland, qui me pria de la foutre par devant. Ma tante prit sous elle madame Dale pour un double