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En prenant les liqueurs après dîner, nous nous racontâmes tous les événements qui étaient arrivés depuis notre dernière réunion et ils étaient nombreux : la mort de monsieur Nixon et ses legs à mes sœurs et à moi-même, ce dont on me félicita pendant qu’on me donnait des marques de la plus vive sympathie et de condoléances au sujet de la mort de ma pauvre mère.

À dix heures tout le monde se retira, mais avec le mot d’ordre de se rejoindre tous dans la chambre de ma tante quand les domestiques seraient couchés, environ une demi-heure après. Nous étions tous trop intéressés pour manquer à cette délicieuse orgie qui se préparait.

Toute l’après-midi on avait entretenu des feux ardents dans cette chambre et dans celle voisine ; on alluma quantité de bougies de manière à bien illuminer même les plus petits coins.

Nous arrivâmes tous avec nos seules chemises de nuit et aussitôt que nous fûmes tous réunis, au mot de « nus » nous les enlevâmes et nous trouvâmes en costume de pure nature.

Ma tante, avide et passionnée, se jeta sur mon corps nu, m’emmena vers le lit et me posséda de suite dans son con délicieux et enflammé ; croisant ses jambes et ses bras sur mon dos, elle m’attira pour me faire entrer plus profondément dans elle, malgré les remontrances de mon oncle qui désirait arranger un plan d’opérations qui comprendrait tout le monde.