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La Egerton avait passé plusieurs hivers à Rome et elle connaissait deux ou trois fouteurs ecclésiastiques qui en avaient présenté deux autres à la Benson lors d’un séjour précédent, et ils étaient tous habitués à faire des orgies en commun.

On peut s’imaginer les délices de ces orgies ecclésiastiques quand ils se trouvèrent introduits dans un cercle de trois jeunes cons frais, nouveaux et si splendides, sans fausse honte ni pudeur, mais prêts à jouir de tous les excès de la luxure.

Nous étions donc six hommes pour cinq femmes ; il y avait surtout un très beau prêtre, jeune mais débauché par les autres, qui faisait partie de nos réunions, et nous fîmes les plus folles et les plus extravagantes orgies de tous genres. Nous nous mîmes à la suite les uns des autres avec la pine au cul ; une femme entre deux hommes, ayant chacune, attaché à la ceinture, un gros godmiché avec lequel elles enculaient les hommes devant elles, pendant que les hommes avaient la pine dans le cul des femmes.

Ces révérends et saints hommes connaissaient une infinité de manières de varier les plaisirs, nous excitant à de tels excès de débauches que la verge fut bientôt obligée d’entrer en action.

Tous, de temps en temps, nous nous procurions le plaisir de la double jouissance, mais les femmes l’éprouvaient à chaque réunion.

Tous ces saints prêtres avaient des pines superbes, mais pas une aussi grosse que la mienne,