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incestueux avec mes sœurs, leurs jeunes charmes, spécialement ceux d’Elisa, étaient pour lui d’une grande attraction, et aussi la Frankland, si excitante et si lubrique.

Nous fîmes ainsi tous les dimanches après-midi de délicieuses orgies jusqu’à la fin d’octobre de l’année suivante, époque à laquelle mes sœurs finirent leurs études.

Moi aussi je quittai le collège pour entrer au Palais. Je fis un stage de trois mois chez un notaire avant de faire mes études d’avocat.

Ce fut alors que la santé de monsieur Nixon donna de sérieuses inquiétudes, et son docteur lui ordonna de passer l’hiver dans un climat chaud. Sa femme lui fit comprendre qu’un voyage ferait du bien à mes sœurs et à moi ; elle n’eut qu’à exprimer le désir de nous voir tous ensemble, et monsieur Nixon nous invita de suite chaleureusement à les accompagner.

Nous visitâmes la Suisse, Milan, Florence, Rome, où nous nous fixâmes pour quatre mois.

Heureusement, les Egerton et les Benson passèrent cet hiver à Rome.

J’habitais un appartement voisin de celui où logeaient monsieur et madame Nixon, ainsi que mes sœurs et où il n’y avait pas de place pour moi. J’avais un charmant entresol composé de cinq pièces pour moi tout seul ; une d’elles donnait sur le Tibre et n’était dominée de nulle part. C’est dans cette chambre que nous faisions constamment des orgies.