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tout serait prêt, il devait apparaître lui aussi entièrement nu, de manière à leur éviter d’un seul coup la fausse pudeur qu’elles auraient pu avoir pour se déshabiller devant lui.

Il fut absolument renversé par la beauté du corps de la Nichols et, comme étranger, nous le laissâmes choisir. Il l’entoura de ses bras nerveux, la dévora de baisers et, se couchant de suite sur un matelas par terre, il la foutit à la vieille mode anglaise, croisant ses jambes et ses bras autour de son corps. Anne et moi, nous regardâmes les splendides tortillements du cul de ma tante et la manière évidente dont elle tétait cette belle pine, chaque fois qu’il soulevait le cul pour la faire entrer avec plus de vigueur jusqu’au fond du con. Nous ne résistâmes pas davantage, et, nous précipitant dans les bras l’un de l’autre, nous tirâmes un coup délicieux, qui nous laissa pâmés et anéantis de délices.

Nos charmantes partenaires avaient déchargé plusieurs fois pendant notre rencontre ; ils désiraient recommencer de suite, mais Mac Callum suggéra de changer de partenaire et de position, par exemple de les faire mettre à genoux, de manière à bien exposer leurs culs ravissants pendant que nous les enfilerions par derrière, mais dans le con.

Le changement s’opéra rapidement ; nous nous plaçâmes de manière à pouvoir voir chacun ce que l’autre faisait. Ce fut une splendide fouterie et, comme notre première fureur était passée, nous