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orgies que nous fîmes dans mon logement du Palais.

Le splendide cul de ma tante captiva la Frankland et le comte. Ce dernier commença par enculer le jeune Dale, ce qu’il fit un jour en arrivant une demi-heure en avance du moment convenu pour le rendez-vous. J’étais présent et je fus tellement excité à cette vue que je m’emparai du cul du comte et l’étonnai en lui faisant éprouver les délices de la double jouissance.

Ce fut après cet événement, comme Henry demeurait avec moi, qu’il fut admis à nos orgies en commun, où nous occupions tout le monde et où nous éprouvions tous les plus voluptueuses et les plus exquises jouissances : de temps en temps, le comte venait nous faire des visites particulières.

Pendant ce temps, Ellen avait été mise dans la même pension où mes sœurs étaient déjà, avec la permission de sortir avec elles le dimanche, jour où nous faisions une délicieuse orgie avec mon cher ami Mac Callum. Lui aussi, comme le comte, avait un goût tout particulier pour l’étroit trou du cul rose d’Henry Dale, sans négliger cependant les femmes, spécialement ma sœur Elisa, qui avait un goût très prononcé pour les plaisirs du cul et ne voulait jamais se laisser enfiler par devant si elle n’avait pas, en même temps, une pine dans le cul, préférant la mienne dans le con, parce qu’elle était plus grosse, et celle d’Henry ou Mac Callum dans le derrière.