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telle volupté que nous prîmes à peine le temps de respirer entre le premier et le second combat, et nous ne nous retirâmes qu’après avoir inondé trois fois les deux intérieurs.

La Frankland, ravie, n’avait pas cessé de décharger, mais une nature aussi passionnée aurait pu en faire deux fois autant ; mais il fallait aussi penser un peu aux deux autres créatures.

Le comte enfila alors la Benson par devant, pendant que je m’emparai du derrière ; la Frankland encula encore la Egerton qui s’introduisait en même temps un godmiché dans le con ; nous courûmes tous deux courses.

Nous nous levâmes alors pour nous purifier et nous rafraîchir. Quand nos pines furent de nouveau raides, la Egerton voulut m’avoir dans son con et le comte dans le cul, et la Benson, qui était devenue avide de sentir le clitoris de la Frankland, se fit enculer par elle pendant qu’elle introduisait un godmiché dans son con. La Egerton souffrit encore un peu de la double introduction, de sorte que nous ne tirâmes qu’un coup, ce qui nous permit de ménager nos forces, un peu épuisées, pour la fin de la séance, qui se fit par une double introduction dans le superbe corps de la ravissante Frankland.

Nous continuâmes ces orgies jusqu’aux vacances de la mi-automne ; ce fut alors que je présentai Benson, Egerton, Frankland et le comte à mon oncle, ma tante, madame Dale, Henry et Ellen, qui se joignirent à nous dans les délicieuses