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gination était tellement surexcitée, qu’elles ressentirent vraiment des jouissances qu’on n’aurait jamais pu supposer, car, quoique très gros, le clitoris de Frankland ne pouvait être comparé à nos énormes pines.

Nous nous pâmâmes deux fois dans ces délices, et les femmes déchargèrent une demi-douzaine de fois pendant que moi une seulement.

J’avais aidé la Frankland en me servant d’un double godmiché qui remplissait les deux ouvertures en même temps. Cet excellent instrument était une invention de Frankland, qui l’avait suggérée à un fabricant parisien de godmichés et qui en avait fait de plusieurs calibres. Ils devinrent très utiles dans nos orgies.

Pendant notre accouplement avec la Egerton, enculée par le clitoris de Frankland, le comte avait d’abord enconné, puis ensuite enculé la Benson à leur satisfaction mutuelle. Nous nous levâmes tous, nous lavâmes et nous rafraîchîmes avec du vin et des biscuits, tout en discutant ce que nous allions imaginer comme pose nouvelle. Le comte n’avait pas encore enculé la Frankland et suggéré, comme c’était sa première introduction à nos orgies, qu’à cette occasion c’était à elle qu’on réserverait tous les honneurs, que je devais la foutre par devant pendant qu’il la sodomiserait par derrière.

La Benson et la Egerton se serviraient mutuellement du double godmiché ou s’amuseraient comme elles le voudraient.

Ceci fut une rencontre des plus exquises et d’une