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l’exquise extase d’avoir une pine dans chaque ouverture ; elle poussa des cris sauvages de joie divine, déchargea copieusement et à la fin se pâma dans une félicité indescriptible. Elle revint rapidement à elle et réclama une nouvelle opération avant de nous retirer. Naturellement, elle fut immédiatement servie et nous tombâmes anéantis de célestes voluptés.

J’avais tout le temps gamahuché la Egerton qui s’était mise sur les deux corps au-dessous d’elle et dont le con se trouvait par cette position à portée de ma bouche, pendant que mes bras entouraient ses fesses blanches et roses, lui donnant en même temps le postillon aux deux doigts pour augmenter sa jouissance.

Nous nous levâmes après ce second coup et bûmes un peu de champagne ; puis, bandant affreusement raide à la pensée de posséder le corps charmant de la Egerton, nous prîmes la même position qu’auparavant, le comte dessous dans le con, la Egerton sur lui, présentant son magnifique cul à mes baisers d’abord et à ma grosse pine ensuite.

L’adorée Benson l’avait un peu sucée d’abord, et ayant bien mouillé la tête, elle la guida vers l’entrée secrète de l’amour aveugle. La tête fut rapidement logée, quoique procurant encore d’étranges sensations, mais l’attaque de l’autre jour avait rendu l’entrée beaucoup plus facile.

Après un moment d’hésitation, nous commen-