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j’obtins un petit logement qui répondait exactement aux projets que nous avions en vue, car il était absolument indépendant et personne ne pouvait remarquer ceux qui entraient ou sortaient ; commode et agréable, c’est tout ce que la chère Benson désirait pour nos réunions particulières, et on y fit les plus grandes orgies d’une luxure insatiable.

Mes descriptions de ma tante, de madame Dale et de miss Frankland, maintenant madame Nixon, avaient excité les passions lesbiennes dont la chère Benson était si friande.

Son clitoris qui était déjà pas mal gros, l’était bien davantage maintenant, et elle adorait gougnotter. Pour cela elle prit une grande passion pour Elise, qui avait ces mêmes goûts très prononcés. Nous avions donc en perspective des orgies effrénées qui se réalisèrent toutes en partie à notre grande satisfaction à tous.

En hommes, nous étions un peu pauvres ; le comte voulut bien consentir à faire partager nos orgies à mon oncle et à Henry Dale. Il n’aimait pas à faire connaître ses goûts d’enculeur à trop de monde, et il n’y consentit qu’en raison des liens étroits qui liaient à moi mon oncle et Henry Dale ; de plus, ce dernier habitant avec moi, il fut presque obligé par force de supporter sa présence. Il fut bientôt ravi de sentir dans son cul la pine d’Henry, pendant qu’il en foutait d’autres.

On remarquera que la timidité du comte écartait de nos orgies mon cher et véritable ami monsieur