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s’allonger sur nos deux corps, de manière à mettre son con suave à portée de sa bouche, qui se trouverait juste à son niveau, puisqu’il était à genoux.

Ainsi il la gamahucha, en pelotant son magnifique cul, auquel il donna le postillon en même temps, et nous formions ainsi un magnifique groupe dédié à la déesse de la volupté.

Nous fîmes durer cette fouterie très longtemps :

Les Egerton avaient certainement déchargé une demi-douzaine de fois et, lorsqu’à la fin, tous deux nous enfonçâmes nos pines avec la sauvagerie de la luxure et que nous déchargeâmes tous trois dans une extase presque mortelle, elle s’évanouit tout à fait et nous effraya tellement que nous usâmes, pour la rappeler à elle, de tous les remèdes qui pouvaient se trouver à notre portée : elle était tout à fait hystérique.

On la mit au lit, et elle ne fut soulagée que par un flot de larmes qu’elle nous assura être des larmes de joie pour les délices inexprimables que nous lui avions fait éprouver. Elle nous pria alors de faire éprouver à la Benson les mêmes jouissances dont nous l’avions gratifiée, et qu’elle serait une paisible et enchantée spectatrice de nos actions.

C’était maintenant au tour de ma bien-aimée Benson d’expérimenter les délices d’une double fouterie. En raison de son amour pour ma splendide saucisse, dont elle avait la première éprouvée les délices, en l’initiant dans son con adultère aux divins mystères de l’amour et, mieux encore, aux