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aussi fine qu’une toile d’araignée et que nous ne la sentions pas du tout.

Ces doubles palpitations allumèrent bientôt les passions de la folle lubricité de la Egerton, y répondant d’abord elle-même par des serrements intérieurs de ses deux ouvertures ; puis devenant tout à fait lascive, elle nous cria à tous deux de commencer par des mouvements très lents. Nous allions et venions en cadence, d’abord très doucement, mais la Egerton trouvant que cette manière de faire procurait à ses deux réceptacles une double jouissance, s’écria :

— Oh ! oh ! c’est divin ! foutez plus vite, mes anges fouteurs ! Oh ! plus vite ! oh !… plus vite… oh !… oh !… c’est… c’est trop !

Et elle déchargea dans une agonie de délices, s’évanouissant presque entièrement.

Nous n’avions pas déchargé nous-mêmes, nous nous étions simplement arrêtés pour la laisser jouir entièrement de cette divine décharge. Alors, d’abord avec des palpitations, ensuite avec des mouvements de va-et-vient, nous la rappelâmes rapidement à la réalité et au plaisir.

Ses passions furent plus que jamais excitées, elle remuait son derrière convulsivement de tous côtés, elle disait les mots, les paroles les plus obscènes et les plus ordurières et nous excita tellement que nous arrivâmes tous trois à la crise finale en poussant des cris de la plus grande jouissance et tombâmes dans une agonie de volupté qui nous anéantit tellement que nous restâmes tout à fait