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sant tomber dans mes bras, elle appela le comte pour lui introduire de suite sa pine dans le cul.

Pendant ce temps, la Benson avait lubrifié, en la suçant, la pine du comte, le rendant aussi avide que la Egerton de s’introduire dans son trou de cul. La Benson la dirigea vers l’entrée de ce divin réceptacle, où il s’introduisit de suite sans la moindre difficulté ; mais comme la grosseur de sa pine commençait à faire se dilater la légère membrane qui séparait nos deux pines, la Egerton nous pria de rester un moment immobiles, car cela lui produisait une étrange sensation, pareille à celle que produit une seule pine dans une étreinte sodomique dans un âge plus tendre.

La Benson vint à son aide en priant le comte de tirer environ la moitié de ce qui était entré, et ayant fait mousser un peu de savon dans de l’eau chaude, elle en enduisit la partie inférieure de la pine du comte qui regagna plus facilement le terrain perdu et trouva un logement complet, malgré l’énormité de son affaire dont, comme je l’ai déjà dit, la partie inférieure était d’une grosseur telle que je ne pouvais en faire le tour en l’empoignant d’une main.

La Egerton eut la sensation qu’on lui faisait un seul trou de deux et supplia de cesser pendant quelques minutes.

Nous restâmes tous deux immobiles, excepté les frémissements involontaires de nos pines pressées l’une contre l’autre, car la légère membrane qui nous séparait était tellement étirée, qu’elle était