Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/103

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
86


cura un plaisir exquis et, je puis ajouter, me prouva par la suite être une femme connaissant les grandes variétés de jouir, et elle devint une de mes plus ferventes admiratrices.

Notre intimité dura pendant des années, car l’âge, comme le bon vin, ne faisait que la rendre encore meilleure. Son mari n’était pas un mauvais fouteur, mais comme il n’avait qu’un petit vit, il n’avait jamais excité ses passions comme je le faisais avec ma grosse andouille.

Pour cette première, nous tirâmes encore trois coups dont elle parut jouir de plus en plus.

Comme j’avais auparavant pas mal foutu les nièces, ma pine à la fin refusa de bander et d’opérer. Je fus obligé de m’arrêter de la foutre, mais je la gamahuchai encore une fois après l’avoir fait poser pour admirer son corps si merveilleusement beau et bien conservé. Elle suça longtemps ma pine sans arriver à la faire dresser.

Nous nous séparâmes enfin, mais non sans qu’elle m’eût promis de venir coucher avec moi la nuit prochaine, et je puis assurer que ce fut une magnifique nuit.

J’eus la plus grande difficulté pour l’amener à me laisser continuer à jouir de ses nièces, mais elle y consentit et je passais une nuit avec la tante et une nuit avec les nièces.

Comme je l’ai déjà dit, Anne était la plus chaude et la plus voluptueuse femme que j’aie connue. Je leur avais parlé de la beauté des formes de leur tante, de son prodigieux clitoris et de sa