Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/90

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
91


car ni miss Frankland ni moi ne voulions laisser mes sœurs connaître ce détail.

Elles rirent de bon cœur et la petite Elise voulut faire comme sa tante, d’abord me fouetter et se faire foutre ensuite ; puis se faire fouetter et recevoir dans son trou du cul ma pine adorée. Nous nous mîmes à rire et la plaisantâmes, et cette scène s’exécuta avec un éclat considérable.

Miss Frankland enfila Marie, pour laquelle elle avait un grand penchant, d’abord dans le con, puis ensuite dans le derrière, suivant mon exemple avec Elise. Elise et moi nous nous lavâmes et nous préparâmes pour de nouvelles rencontres et nous commençâmes à tirer un coup des plus délicieux, dans lequel les godmichés et les verges jouèrent un grand rôle, car tous deux étaient devenus nécessaires par suite des excès voluptueux de ces deux dernières nuits.

Je regagnai ma chambre longtemps après le lever du soleil et m’endormis profondément pendant environ deux heures.

On peut bien s’imaginer que nos études étaient pas mal négligées pendant ces derniers jours, aussi il me fut permis de sommeiller pendant les heures de classe.

Miss Frankland se promena encore seule avec moi dans le jardin, pour me donner, comme elle le pensait, ses dernières instructions sur la conduite à tenir avec ma tante, qui, elle en était maintenant plus persuadée que jamais, essayerait de me posséder aussitôt que je serais arrivé chez elle, où