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elle le coucha sur ses larges et fermes cuisses, et, passant son bras autour de sa taille, elle saisit sa pine dans la main, elle commença à le fouetter si vigoureusement, avec toute la force de son bras que je commençai à croire que le pasteur allait hurler de douleur. Mais il reçut les coups sans un seul murmure, se contentant de remuer son derrière de tous côtés d’une manière qui indiquait qu’il éprouvait plus de plaisir que de peine. Alors ma tante qui, sans doute, sentait dans sa main que sa pine était arrivée au point voulu pour satisfaire ses passions, le releva en disant :

— Maintenant, je vais vous faire mariner, mais comme vos grosses fesses rouges sont trop larges pour être marinées, ce sera votre pine que je vais faire mariner. Aussi, venez ici, monsieur, et laissez-moi mettre ce morceau tout raide dans mon pot à cornichons, où, je vous assure, la saumure lui enlèvera bientôt toute sa fierté.

Je suppose que c’était cette sorte de langage enfantin qui leur faisait le plus plaisir à tous deux, car mon oncle, qui s’était levé et qui présentait un saucisson bien plus gros que je n’aurais cru, prétendait craindre sa future punition et suppliait qu’on le laisse tranquille, qu’il avait été assez puni, etc., etc.

Cependant, ma tante, le menant par la pine vers le lit, se coucha sur le bord, étendue sur le dos, ramena ses énormes cuisses presque sur son ventre, et montra à mes yeux avides, sa fente effroyablement large et couleur de saumon, entièrement