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nous enlaçant les uns les autres, pendant un certain temps.

Comme Marie n’avait pas encore eu ma pine dans son con, miss Frankland proposa que je l’enconnerais, qu’Elise s’agenouillerait près de nous, qu’elle-même enculerait Elise avec son clitoris et ferait manœuvrer un godmiché dans mon derrière et un autre en même temps dans le sien. Aussitôt dit que fait, la tête d’Elise se trouvait à hauteur du ventre de Marie, de manière à ce que miss Frankland se trouvât assez près de moi pour faire ce qu’elle désirait et nous tirâmes un coup si délicieux qu’après la décharge nous tombâmes pêle-mêle sur le lit où nous nous endormîmes tous d’un profond sommeil.

Il était si tard quand nous nous réveillâmes que nous eûmes juste le temps de nous laver à l’eau froide, faire un gamahuchage général pour finir et regagner nos chambres respectives.

Pour cette dernière occasion, miss Frankland voulut me gamahucher, car elle était heureuse d’avaler une bonne goutte de crème. Ce jeu amusa beaucoup mes deux sœurs.

Ce fut vers cette époque que madame Vincent accoucha d’un gros garçon. Je n’ai pas parlé d’elle depuis le jour où, pour la première fois après son mariage, je l’avais foutue dans le pavillon pendant que tout le monde était allé à la rencontre de miss Frankland. Depuis ce jour, je n’avais eu avec elle que deux entrevues secrètes, que je n’ai pas mentionnées, parce qu’elles avaient été trop courtes et