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s’accoupla avec elle, pendant que je m’arrangeai avec Elise.

Miss Frankland qui s’était munie d’une provision de godmichés, nous en donna un à tous, de grandeur différente, suivant le but qu’ils avaient à remplir. Comme le cul de Marie ne pouvait encore en recevoir un que de petit calibre, miss Frankland garda le plus petit pour son usage particulier, les autres furent distribués indistinctement. Ainsi armés, nous procédâmes aux excès voluptueux du gamahuchage sous toutes les formes, faisant durer nos plaisirs le plus longtemps possible, de manière à passer toute la nuit dans les plus ravissantes jouissances. Quand l’extase finale nous saisit, nous fûmes obligés de cesser de gamahucher afin de permettre de sortir aux expressions poussées par les sensations extraordinaires que nous ressentions.

Nous restâmes quelque temps anéantis avant de recommencer nos caresses. Maintenant que nous avions jeté notre premier feu, nous préparâmes avec plus de calme nos combinaisons voluptueuses. On enleva toutes les couvertures du lit, qui présentait alors un champ admirablement approprié pour nos combats amoureux. Nous tînmes conseil au sujet de nos futurs mouvements et finalement nous décidâmes ce qui suit :

Marie se coucherait sur le dos, Elise se mettrait sur elle en sens contraire, miss Frankland satisferait la grande envie d’Elise de se faire enculer par son extraordinaire clitoris, pendant que je foutrais miss Frankland dans le con et lui donnerais le pos-