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son clitoris dans la fente d’Elise ; elle la fit s’agenouiller, et s’agenouillant aussi derrière elle, elle l’enfonça avec facilité dans les replis chauds et humides du magnifique con d’Elise. Passant une main sous le ventre d’Elise, elle branla son clitoris jusqu’à ce qu’elle eût déchargé ; elles tombèrent toutes deux dans la voluptueuse langueur qui suit la crise finale. Elles renouvelèrent une troisième fois ces jouissances lubriques et enivrantes et reprirent leurs robes afin d’être en tenue convenable pour nous recevoir.

Miss Frankland dit à Elise de suivre ses conseils et de ne pas révéler, même à Marie, ce qui s’était passé entre elles. Mais Elise supplia miss Frankland d’admettre Marie à ces nouveaux mystères qu’elle venait de lui faire connaître, l’assurant que Marie avait un corps bien plus beau que le sien et qu’elle aimerait cela autant qu’elle.

— Eh bien ! ma chérie, je vais y penser et chercherai une occasion de la fouetter comme je l’ai fait avec toi.

— Oh ! ce sera charmant ! s’écria Elise, elle l’aimera autant que moi ; c’est si bon ; il faut me fouetter tous les jours, chère miss Frankland ; je vous aimais d’abord, maintenant, je vous adore.

Elles s’embrassèrent très tendrement, mais notre arrivée mit fin à leur conversation.

Ces détails furent accompagnés et interrompus par deux ou trois fouteries des plus voluptueuses, sans retirer une seule fois ma pine enflammée de son con brûlant et palpitant, car la description