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aussi me faisant étendre sur le dos, elle se coucha sur moi en sens contraire et nous commençâmes un mutuel gamahuchage. Je réussis à la faire décharger encore et elle arriva à faire bander ma pine à nouveau.

— Maintenant, Charles, tu dois finir par un enculage.

Se mettant donc encore à quatre pattes, elle guida ma pine, qui ne demandait pas mieux, vers le plus petit trou de la volupté. Après l’avoir bien lubrifiée dans son con gluant et plein de foutre, je l’enfonçai dans son trou du cul. Je m’emparai de son clitoris, elle avait pris son godmiché dont elle se servait avec la main ; nous courûmes notre dernière course avec un tel ravissement que nous tombâmes tous deux sur le lit complètement anéantis et insensibles.

Épuisés comme nous l’étions par tous ces essais de lubricité, nous tombâmes dans un profond sommeil, sans bouger et sans avoir repris nos sens ; quand nous nous réveillâmes, il était très tard et je dus regagner ma chambre immédiatement sans essayer de nouveaux combats amoureux.

Ainsi se termina ma première expérience de flagellation. La sensation était si nouvelle et la tentation de me venger un peu était si grande, que j’avais un peu dépassé la mesure raisonnable en infligeant d’aussi violents coups au charmant derrière de ma bien-aimée miss Frankland. Je vois cependant qu’elle comprit et excusa les raisons qui m’avaient fait agir ainsi, me priant seulement, à la