Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/36

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
37

— Ah ! te voilà devenu un bon garçon, nous n’aurons plus de difficulté maintenant.

Elle commença une série de coups de moins en moins violents, qui se terminèrent par une gentille et irritable titillation qui fit rapidement voir ses effets en faisant bander ma pine, qui se frottait avec fureur contre la cuisse nue de ma charmante fustigatrice, qui, passant un bras autour de mon corps, l’empoigna à pleine main, heureuse de voir combien son système de fessée avait été efficace. Se prétendant tout à fait épuisée, elle s’étendit sur le lit, disant qu’elle n’en pouvait plus.

Je lui sautai dessus et nous tirâmes deux coups sans déconner, avec les plus grands excès de volupté. C’était maintenant mon tour, et comme elle me laissa sortir sans rien dire de son con délicieux, je pris cette manière d’agir pour un motif de punition et de mécontentement.

— Quoi ! vilaine fille, dis-je, est-ce la manière dont vous traitez votre maître, le jeter dehors de son logement de cette manière ! Donnez-moi les verges, votre derrière va payer pour votre vilaine conduite ; agenouillez-vous sur ce tabouret et étendez votre corps sur mes cuisses ; surtout pas de résistance ou ce sera encore pire pour vous.

— Oh ! je vous en prie, monsieur, pardonnez moi cette fois-ci.

Elle s’agenouilla à mes côtés, faisant semblant de pleurer. Je la forçai à s’étendre sur mes genoux, et elle présenta ainsi à mes yeux ravis, son dos magnifique et ses splendides fesses larges, fermes