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pirer convulsivement comme si j’étais encore dans cet état délicieux d’inconscience. Je sentis qu’elle passait sa main entre ses cuisses et l’entendis murmurer :

— Ma parole, elle est entrée jusqu’au bout. Ses gentils attouchements sur mes couilles qu’elle prit dans sa main pour les caresser doucement, me firent raidir la pine considérablement. Elle s’en aperçut et les caressa encore jusqu’à ce qu’elle me sentît bander aussi raide que jamais, enfoncé entièrement dans ce charmant derrière, qui, par ses pressions nerveuses, semblait plutôt souhaiter la bienvenue à cet étranger au lieu de le repousser. Je fis semblant seulement alors de reprendre connaissance et m’écriai :

— Oh ! où suis-je ? Je n’ai jamais ressenti une joie aussi divine !

Elle leva sa tête de dessus l’oreiller et répondit :

— Eh bien ! vilain gourmand que tu es, tu l’as faite entrer jusqu’aux couilles ; ah ! tu as trahi ta promesse, mais je te pardonne, seulement ne remue pas encore, attends un instant.

Je lui assurai que je ne savais pas comment j’en étais arrivé là, car j’avais perdu connaissance en déchargeant aussitôt que la tête avait été dedans.

— Mais, oh ! Comme c’est délicieusement chaud ! Comme c’est étroit ! Comme je me sens délicieusement pressé dans cette ravissante crevasse !

Je fis palpiter ma pine, et je sentis en retour une délicieuse pression intérieure. Je passai ma main autour de son ventre et trouvai son clitoris